Covéa PJ – FOT

REFONTE DES FICHES D'ORGANISATION

ficheorga

Le projet CAPTEN s’est accompagné d’une évolution des fiches d’organisation du temps de travail du Pôle Relation Client.

Information juridique :

L’évolution pour l’IJ est clairement défavorable avec comme gros point noir les horaires individuels.

Les points positifs

1°) La réduction de l’amplitude du temps de travail de 8h à 18h contre 8h à 19h voire 20h actuellement.

2°) La suppression du travail le samedi.

Les points négatifs

1°) Vigilance sur une éventuelle dérive de la sous-traitance qui ne doit pas mettre en péril l’emploi au sein de l’Information Juridique.

2°) Une perte de pouvoir d’achat est à craindre pour les collaborateurs volontaires jusqu’à lors pour travailler le samedi même si en cas d’évènements exceptionnels, il pourra être fait appel à leur service.

3°) La mise en place des horaires individuels sur tout le périmètre de l’Information Juridique de Covéa PJ.

Gestion des Litiges :

Certaines demandes fortes et constantes de la CFE CGC ont semble-t-il été entendues. Mais tout n’est pas rose.

Les points positifs

1°) L’amplitude horaire pour les permanences téléphoniques ont été revues à la baisse passant ainsi de 8h à 8h30 le matin et de 19h à 18h30 le soir.

La CFE CGC est donc satisfaite de la réduction de l’amplitude horaire respectant ainsi un peu mieux l’équilibre vie privée/vie professionnelle sans pour autant mettre à mal la satisfaction client.

2°) Les collaborateurs à temps partiels ne rentrent plus en ligne de compte dans le calcul du taux de présence.

Les points négatifs

1°) L’augmentation de la durée minimale de la pause déjeuner passant de 30 à 45 minutes du côté des collaborateurs ex-DAS. On pouvait plutôt s’attendre à une homogénéisation à 30 minutes, dans l’intérêt du personnel de NOISY et ce d’autant que les permanences extrêmes ont été revues à la baisse.

2°) La prise d’appel en présentiel. L’outil téléphonique devrait permettre la prise de ses seuls appels. Or, cette faculté ne semble plus possible et cela revient donc, même lorsque le collaborateur n’est pas de permanence, à être perturbé par des appels.